Article extrait de Jurisart etc. n°29 de novembre 2015 avec l’aimable autorisation de Juris Editions
© Editions Dalloz
Si les tâches sont souvent enrichissantes et les niveaux de formation élevés, la qualité de l’emploi dans le champ culturel, sans être ni meilleure ni pire que dans un autre secteur, est marquée par une grande précarité et flexibilité pour de nombreux salariés. Les acteurs culturels de l’Economie sociale et solidaire (ESS) mettent ainsi en œuvre des démarches de mutualisation et de coopération pour améliorer qualité, sécurisation des parcours professionnels et pérennité des emplois. Des débats sont lancés pour reconsidérer les relations de travail employé/employeur, avec pour certains, le souhait de dépasser l’alternative entre travail salarié subordonné et travail indépendant précarisé. Enfin, la question de la rémunération de ceux qui créent la valeur est au cœur de ces mutations et de ces questionnements.
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